Certes, il propose plutôt les actions (avec lesquelles j'ai un réticence philosophique, dont je vous parlerai dans un billet futur), mais il défend un point de vue que je partage depuis plusieurs années :
- Le taux de taxation sur les REER est astronomique (près de 50 %), comparé à d'autres investissements comme les actions ou l'immobilier;
- Les REER ne sont qu'un paiement différé d'impôts, que l'on devra régler au moment où on a le plus besoin de ca$h : au moment de la retraite. Et ce taux d'imposition futur, Dieu seul sait ce qu'il sera dans une 20aine d'annes...
Gardez-vous un petit coussin pour les imprévus, mais payez d'abord vos dettes (maison, cartes, prêts persos, marges, etc.).
Une fois complètement dans l'vert, vous penserez à économiser. Et au moment de placer vos bidoux, prenez le temps de peser le pour et le contre de vos options (il y en a plus qu'on pense!). Ne vous limitez pas aux produits que vous imposent les institutions financières. Parce qu'une banque ne vous proposera jamais d'acheter — seul ou en groupe — un immeuble à revenus (ou un chalet que vous pourriez louer), de lancer une PME ou d'investir dans une entreprise existante et prometteuse. Ils ne le proposent pas, parce qu'ils ne feront pas une cenne avec vous. Alors que vous, vous en f'rez probablement bien plus sans eux.
Z'en dites?
Merci à ma maman, Lucie Plourde, de m'avoir aiguillé vers cette vidéo.
Ce serait cool une chronique "Que faire avec 2000$ en 2012 ?"
RépondreEffacerJ'dis ça d'même. J'adore ton blogue.
Merci pour le commentaire positif! Je voulais justement faire un petit quelque chose sur le retour d'impôt; tu viens d'me proposer une twist intéressante. Marci bin!
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