Manifeste

Si c'est votre première visite, je vous invite à LIRE LE MANIFESTE!

dimanche 19 février 2012

LE MANIFESTE! ou Pourquoi devrions-nous tous piger dans La p'tite caisse?


:: MA P'TITE HISTOIRE

Je travaille depuis que j’ai 14 ans; à temps plein depuis que j’en ai 21.

Ma vie « professionnelle » a débuté en tant que travailleur autonome dans le domaine de la télévision. Puis, j’ai été chef d’entreprise pendant 3 ans et propriétaire de 10 logements locatifs pendant plus de 10 ans. Malgré des revenus considérables tout au long de la 20aine, j’avais toujours l’impression de ne pas joindre les deux bouts. Je n’ai jamais frôlé la catastrophe financière (faillite), mais je m’endettais continuellement malgré des revenus (bruts, on s'entend) de près de 200 000 $ par année. J’ai fait 2 consolidations de dettes et me suis déjà déjà retrouvé avec 4 cartes de crédit « pleines ».

Puis, j’ai compris quelque chose : la richesse ne dépend pas de revenus élevés. Elle commence par une planification éclairée et réaliste, une certaine discipline, mais surtout une stratégie et des trucs concrets pour vivre sans dettes.

Maintenant dans la mi-30aine, en couple et avec un enfant, nous vivons tous sans dettes aucune*! La maison est payée, les voitures sont payées et la seule carte de crédit que nous avons n’a aucun solde mensuel. Nous avons des économies de côté pour les urgences et sommes dans une situation où si une occasion d’affaires devait se présenter, nous pourrions en profiter sans avoir recours à du financement additionnel.

:: POURQUOI LA P'TITE CAISSE?

Ce blogue n'est pas un simple blogue : c'est un Master Plan!

Créer un rassemblement de gens qui, comme moi, désirent faire un pied de nez (pour ne pas dire un gros F*** Y**) à celles et ceux qui nous font croire que la vie à crédit, c'est normal, acceptable et inévitable; qui nous convainquent que de simples citoyens comme nous sommes condamnés à vivre aux crochets des BMO, VISA, MC, BN, ING et autres magnats de ce monde; qui nous chantent que notre pouvoir d'achat est limité et qu'on n'y peut rien!

La réalité, c'est que ces gens — les conseillers financiers, préposés au financement, vendeurs, dirigeants d'entreprises, fiscalistes et financiers, comptables et pions du système économique — gagnent leur vie à nous faire perdre la nôtre. Ils nous font croire que sans leur crédit, on ne peut se permettre les belles choses de la vie. Ils nous font miroiter de faibles mensualités, que nous payons à l'infini; leur but n'est pas de nous faire payer le plus cher possible maintenant, mais de payer le plus longtemps possible.

Si je vous offrais le choix entre recevoir 250 000 $ dès maintenant, ou 1000 $ par semaine à vie**, laquelle des deux options choisiriez-vous? En répondant à cette question, vous v'nez de comprendre sur quoi repose le système en place... Sur le financement à perpétuité.

En tant que mouvement, nous allons nous doter d'outils pour vivre librement et sans dettes. Et n'allez pas croire que ce sera difficile ou exigeant; nous allons tous partager nos trucs et astuces, développer une philosophie et un sens critique qui nous permettront quotidiennement d'augmenter notre pouvoir d'achat et d'atteindre la Liberté 55 à l'âge de notre choix! Nul besoin de devenir des as de la finance, des comptables aguerris ou de fins fiscalistes. Nous possédons tous les capacités et la logique nécessaires à l'atteinte de notre but.

:: UN PEU DE RHÉTORIQUE

J'entends déjà les pessimistes et hyperréalistes (les ambassadeurs du statu quo) me reprocher : « Notre société et ses fondements économiques reposent sur la consommation. Cesser de consommer, c'est encourager la chute de l'économie. »

Je ne prône pas l'arrêt de la consommation et l'écureuillisme (empiler de l'argent pour le plaisir de l'empiler); j'encourage les gens à prendre leurs finances personnelles en main afin de cesser de verser des intérêts (ce qui équivaut à payer nos convoitises de 10 à 50 % plus cher qu'elles ne le valent réellement), à consommer intelligemment et d'en avoir réellement pour notre argent. Comme diraient les Chinois : Keep on spending as much as you do now, but have something to show for it! (Dépensez autant que vous le faites en ce moment, mais ayez de quoi de concret en échange).

Encourageons l'achat local, source d'emplois et de fierté.

Encourageons une consommation basée d'abord et avant tout sur la qualité du produit, plutôt que sur l'aubaine du moment.

Lectrices et lecteurs, consommatrices et consommateurs; joignez le mouvement! Prouvons aux bonzes de l'économie actuelle que nous possédons l'esprit critique pour déjouer leur plan machiavélique.

:: CE QUE JE VOUS OFFRE

Le blogue de La p'tite caisse sera le coeur de notre discours (mais pas son seul refuge). Je le nourrirai de conseils, trucs, astuces, filons, anecdotes et faits — le tout parsemé d'un brin de folie et de propos juteux — dont vous vous délecterez. Ce sera aussi un lieu d'échange où vos commentaires, expériences personnelles et compléments seront bienvenus. Mais surtout, ce sera une tribune où la confrontation d'idées, les remises en question et les débats (civilisés, évidemment) seront encouragés!

Les sujets iront du financièrement étouffant (hypothèque, dettes de consommation) au très quotidien et terre-à-terre (sauver quelques dollars chaque jour, sans s'en rendre trop compte).

:: ET VOTRE ENGAGEMENT

Vous venez de découvrir notre mouvement? Welcome home! Je ne vous demande qu'une seule chose : un mois.

Promettez-moi de demeurer fidèles au blogue pour une période d'au moins un mois, de prendre les quelques minutes nécessaires pour lire les billets et les interventions, de participer au discours si vous en voyez la pertinence. Je ne vous demande que ça. Un mois de lecture, qui ne vous coûteront littéralement rien. Et comme le but est d'augmenter notre pouvoir d'achat et de prendre nos finances personnelles en main, c'est le seul vrai risque que vous courrez; de vous retrouver vous aussi sur le chemin de l'autonomie et de la liberté.

Pour vous faciliter la tâche, pourquoi ne pas ajouter votre adresse courriel à la liste d'envoi (liste qui, dois-je le préciser, ne deviendra jamais un outil de propagande commerciale...)? Une fois votre « période d'essai » de 30 jours terminée, de deux choses l'une; vous quittez les lieux calmement et demandez un remboursement complet (i.e. vous retirez votre nom de ladite liste), ou vous continuez la route avec nous.

Z'en dites?

* Il s'agit ici d'un petit mensonge, mais je partagerai — dans un billet prochain — pourquoi je considère négligeable ma seule et unique « dette ».

** Pour les friands de calculs : 1000 $ par semaine = 52 000 $ par année = en moins de 5 ans, vous avez déjà fait plus d'argent...

:: LA PETITE NOTE DE BAS DE PAGE QUI — HABITUELLEMENT — EST TELLEMENT PETITE QU'ELLE EN DEVIENT ILLISIBLE ::

Je ne suis ni un guru, ni un as de la finance, ni un planificateur financier ou un vendeur de produits d’épargne. Je ne suis qu’un père de famille et un entrepreneur qui, au fil des années, a développé une philosophie simple et efficace pour y voir clair dans un budget personnel ou familial, minimiser les frais de crédit et dépenses inutiles et atteindre mes objectifs financiers. Je ne vends aucun produit financier et ne suis affilié avec aucune banque ou caisse. Je ne veux qu’aider les gens qui, comme moi à une certaine époque, ne voient pas la lumière au bout du tunnel.


16 commentaires:

  1. Merci Bruno de partager ta philosophie simple mais efficace. Des façons de faire qui sont connues, mais que je ne mets pas nécessairement en pratique... Ton écrit, ça réveille!

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  2. Brun, you're my man!
    Clau

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  3. Bonjour
    J'avais écrit «un super message intelligent». Il a disparu. Courageux, je vais tenter de le réécrire.
    Merci pour la mise sur pied de ce blogue.
    Je trouve qu'il nous permet de parler de la chose la plus importante et dont personne ne parle: «la liberté économique de l'individu». Personne ne dit à personne qu'il faut être autonome, indépendant financièrement. On dit à tout le monde qu'il faut exprimer ses idées, affirmer sa personnalité. Mais, qu'il faut avoir la liberté de le faire et cette liberté passe par $$ aussi.
    La société entière est centrée sur le présent et quelque chose comme sur l'irresponsabilité ou sur l'autre doit nous donner.
    L'évolution du Québec est un exemple.
    Plusieurs personnes ne souviennent pas que la Révolution tranquille de Jean Lesage a été possible parce que le Québec n'avait pratiquement pas de dette. La Révolution des idées, des mentalités et des structures a été possible parce que «notre collectif» avait une capacité d'emprunt. La Révolution tranquille s'est ainsi ouverte à répondre aux demandes des citoyens en fouillant dans les goussets des banques.
    Nous avons fait la Révolution tranquille en projetant la société sur des «bases empruntées» au crédit. C'est intéressant de se demander si la démocratie n'est pas responsable de cette situation irréaliste.
    La situation économique et politique de la Grèce peut servir d'exemple. Si ce pays est dans cette situation, c'est parque les politiciens se sont battus pour obtenir le pouvoir et pour le garder. Afin de le garder, ils ont répondu aux demandes et aux désirs des citoyens en endettant le pays et sans doute en «enrichissant» leurs amis.
    C'est bizarre de penser que cette situation pourrait avoir été créée par les règles de fonctionnement du système démocratique. Les citoyens demandent, les politiciens comblent les demandes et les désirs sans se préoccuper des conséquences et sans forcer la réflexion des citoyens. IL faudra adopter des lois qui obligent les politiciens à ne pas raconter d'histoire ou à rendre des comptes et non seulement à chercher le pouvoir. Ceci est une autre affaire.
    C'est la même chose pour nous. Le système nous présente le monde comme un plat de bonbons facilement accessible. Il ne nous dit pas que se gaver de bonbons a des conséquences. Nous devenons les «esclaves» de tous les «généraux» de ce monde. Général électrique, Général Motor, Général Food. Il y a une différence de contexte d'avec les esclaves mais, financièrement ne nous comportons nous pas comme des esclaves? Nous travaillons pour les autres?
    Nous oublions de travailler pour la satisfaction de nos besoins en nous laissant emporter par l'engrenage du milieu, par le m'as-tu vu, par il faut, j'ai besoin, je dois!!!

    C'est agréable de trouver un blogue qui met de l'avant l'acquisition de la liberté financière. Non pas par le refus du système mais par la responsabilisation de soit dans ce monde de la facilité.
    Félicitations
    Aurélien Leclerc

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  4. Aurélien, merci d'avoir pris le temps et trouvé le courage pour réécrire ton commentaire au complet. Je suis content de la lecture que tu proposes de mes billets, de la responsabilisation individuelle que tu encourages aussi; c'est d'ailleurs un sujet qui sera abordé dans ce blogue et qui teint ma démarche (et mon propos, je l'espère). Merci pour ces beaux mots, qui m'encouragent déjà et me motivent. Au plaisir de te relire sur ces pages!

    Et merci à vous tous pour les commentaires (publics et privés). Faisons un bout'chemin ensemble, v'voulez bien?

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  5. Je suis étudiante et je me pose la question : pour ou contre l'augmentation des frais de scolarité. Je vois que tu prône une approche des dépenses responsables, libre et intelligente. Tu m'intéresse. Dis-moi, quel est ton opinion politique sur l'augmentation des frais de scolarité universitaire. Dis moi, crois-tu qu'une grève peut faire changer une décision politique ?
    JB étudiante

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    1. Salut JB!

      Ta question est pertinente et mérite une réponse. La p'tite caisse n'est probablement pas la meilleure tribune pour s'y attarder, puisque son objectif est fondamentalement autre.

      Cependant, je te propose de lire ma réponse dans la sections « Articles » de ma page personnelle Facebook.

      D'ailleurs, la réponse que je t'ai écrite a été refusée par la site Blogger, parce que trop longue. C'est donc un signe des cieux que la discussion doit être tenue ailleurs. ;-)

      Au plaisir!

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  6. Entièrement d'accord avec le principe que tu énonces, mais la question est.....
    Te retrouverais-tu aujourd'hui ds une situation si enviable , si tu n'avais eu que ton salaire et celui de ta conjointe pour y parvenir ??? Faut quand même être honnête et admettre que la vente de tous tes immeubles , avec très bon profits , t'ont permis de régler toutes tes dettes et de mettre du pécule de côté et de pouvoir maintenant acheter comptant voitures, roulotte et surtout régler ton hypothèque.
    Bien que j'encourage fortement le principe de '' payer moins d'intérêt pour s'enrichir soi-même et non enrichir les institutions bancaires '' , et bien que ton intervention soit louable , je doute fortement que tu serais parvenu au même résultat en si peu de temps. Avec détermination , tu y serais sûrement parvenu , mais soyons honnêtes, pas avant 15-20 ou même 25 ans .
    Signé: Très fière du résultat auquel tu es arrivé mais quand même très réaliste.

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    1. Salut Anonyme,

      Je suis content que tu poses cette question : je l'attendais et l'anticipais depuis que j'ai publié le Manifeste; que quelqu'un me relance sur ma propre situation.

      Je ne m'en cache pas et ne m'en cacherai jamais; j'ai eu un parcours hors norme. De la chance? Peut-être. Mais surtout, je pense que j'ai finalement pris conscience que pour améliorer mon sort dedans la vie, je devais prendre les moyens qu'il faut pour y arriver.

      Oui, j'ai fait du profit avec deux immeubles locatifs. J'ai acheté dans un quartier qui — à l'époque — était mal-aimé (il l'est encore d'ailleurs). J'ai pris le risque — en tant que travailleur autonome — d'assumer 2 hypothèques avec un seul revenu (on ne parle pas de salaire quand on est pigiste, un parle de revenus incertains d'un mois à l'autre). Et je me suis endetté pour diverses raisons, bonnes et moins bonnes. J'ai passé une 10aine d'années — parfois aidé de ma famille et amis, envers qui je suis très reconnaissant — à consacrer soirs, weekends et congés à entretenir, gérer et améliorer ces immeubles. Et si j'avais eu une conjointe à l'époque (quand tu travailles aveuglément, tes yeux n'ont pas le temps de voir à ta vie sentimentale), ses revenus nous auraient encore plus aidés.

      Je suis tombé dans le panneau du « faut que tu mette les bouchées doubles pour y arriver, faut que tu travailles d'arrache pied sans compter les heures », alors qu'il suffit d'y réfléchir à deux fois pour augmenter son pouvoir d'achat.

      Ce que je retiens aujourd'hui, c'est qui si j'avais eu les connaissances, l'esprit critique et l'expérience que j'ai aujourd'hui, ma situation serait fort différente. Et c'est pour ça que j'écris La p'tite caisse; pour sensibiliser les gens aux pièges et aux flibustes; les encourager à r'garder leur consommation avec recul, science et discernement; leur faire enfin réaliser qu'ils peuvent bel et bien améliorer leur sort.

      Le système en place ne fait la promotion et l'éloge que d'un seul sentier : celui où l'on bosse jusqu'à 65 ans en payant aveuglément des intérêts et en mettant de l'argent de côté dans des REER et des caisses de retraite. En souhaitant que son augmentation de salaire soit au moins aussi élevée que le coût de la vie. En espérant un jour une promotion. Ce parcours convient à bien des gens. Il convient surtout aux institutions financières. Car il fitte dans le moule. (suite...)

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    2. (suivi...)

      J'encourage les gens non pas à se lancer tête baissée dans un chemin moins fréquenté, mais au moins d'y jeter un coup d'oeil pour voir ce qui pourrait bien s'y cacher et les intéresser. Et envisager une liberté autre que celle qu'on nous promet à 65 ans seulement.

      Et tu as raison : si c'était à refaire, je n'arriverais probablement pas au même résultat. Si c'était à refaire aujourd'hui avec le bagage que je trimbale, j'aurais sans l'ombre d'un doute atteint mon objectif initial de la Liberté 35. J'ai été dupe, con et mal informé. Les gaffes que j'ai faites, les pièges dans lesquels je me suis pris la bourse, les discours que j'ai pris pour du cash m'ont nui. Et La p'tite caisse veut prévenir que ces conneries, d'autres les répètent.

      Pour que les choses changent et évoluent (que ce soit dans sa vie personnelle, professionnelle, familiale ou financière), il faut d'abord et avant tout prendre conscience qu'il y a une autre façon de faire que celle qu'on nous présente ou nous impose. Il faut ensuite prendre conscience qu'on a les moyens et le pouvoir de faire autrement. Il faut finalement être informé et critique. Et ça, tout le monde peut y arriver, sans exception.

      Mon parcours dit hors-norme, n'importe qui peut le répéter. N'importe qui peut faire un move audacieux à 24 ans; je n'avais pas plus de moyens — financiers, physiques ou intellectuels — qu'un autre, ni un richissime mécène pour me backer. N'importe qui peut passer les 10 années suivantes à bosser, faire des gaffes et apprendre. N'importe qui peut, un jour, récolter le fruit de ces expériences.

      C'est vrai qu'avec de l'argent, on fait d'largent. Mais c'est totalement erroné de croire que ça prend de l'argent pour en faire. Ça prend une tête su'é épaules. C'est tout. Pis du monde pas d'tête, ça fait un bail que je n'en ai pas croisé sul' trottoir.

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    3. Question de principe, je n'ai jamais eu recours au crédit. Dans ma tête, la seule dette acceptable était une hypothèque.

      J'ai dû attendre mes 37 ans avant de pouvoir m'acheter une maison sans aucune expérience de crédit. Avec un pourcentage indécent de cash réclamé, "La Caisse Pop" m'a enfin accordé un prêt hypothécaire.

      J'ai gagné mon pari. Il est effectivement possible de devenir proprio sans avoir de carte(s) de crédit. Mais à quel prix ?

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    4. Salut Anonyme,

      Je salue ta détermination et ta patience. En effet, il est excessivement difficile dans notre société actuelle de s'en tirer sans crédit. Bravo! Tu nous prouves que c'est possible!

      Et tu m'incites à lancer la question suivante : est-ce normal qu'un individu discipliné soit pénalisé pour sa saine gestion de ses finances personnelles?

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    5. À ta question, je répondrais "non ce n'est pas normal". Mais c'est comme ça que la "game" est jouée et que les dés sont pipés ces jours-cis par dieu seul sait quelles gangs "d'illuminatis", de "NWO" ou de "banksters"! On pénalise la saine gestion et l'épargne et on encourage le crédit - ou l'esclavage financier - à outrance. Ça fait dur en titi. Alors Bravo à toi d'essayer d'éveiller les consciences, je t'en remercie :)

      Jean

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    6. Salut Jean,

      Merci pour les remerciements! Comme tu le dis si bien, le système actuel encourage « l'escalvage financier », car c'est ainsi que les grandes institutions font leurs frais. Est-ce que les jeux sont joués, les dés pipés de façon irrévocable et inévitable? Je ne le crois pas. Développons ensemble une vision alternative des choses, partageons nos impressions, trucs et commentaires et ainsi, nous pourrons toutes et tous atteindre une plus grande liberté financière.

      Et j'adore ton terme « banksters ». Est-ce que tu me permets de me l'approprier et de l'inclure dans le vocabulaire de La p'tite caisse?

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    7. Bonjour Bruno,

      C'est bien grâce à des gens comme toi que l'on peut espérer éviter les pièges et déjouer les jeux! Le mot "bankster" ne viens pas de moi alors libre à toi de t'en servir. Tu l'aura deviné, et les lecteurs aussi, que c'est un nouveau mot alliant banquier + gangster; et c'est pas mal ce que beaucoup d'entre eux sont! M. Obama, qui promettais de faire le ménage, n'a jamais réussi à faire traduire en justice les grands voleurs de Wall Street car ce sont maintenant eux et la "corporatocratie" qui mènent le gouvernement et font les lois. On se croyais à l'abri, au Canada et au Québec sauf que M. Harper est en train de défaire tout ce qui a été dûrement construit depuis 30-40 ans et M. Charest est en train de vendre la province à rabais aux minières, embouteilleurs, pétrolières etc. Des jours je me demande qu'est-ce que ça prendra pour renverser la vapeur du bulldozer mondial de ces banksters et groupes de pression qui saccagent la planète et des millions de vies. Désolé du négativisme... certaines réalités me font parfois pleurer de dégoût.

      Jean

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  7. Très pertinent comme initiative. J'aime bien ta candeur.

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